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Publié le par Bureau des Affaires Louches

- De JFK à Obama -

Quand la machine 
démocrate de Chicago joue 
à la "faiseuse de présidents"

(1ère partie)


(27-12-2008)

 

Depuis plus de trois-quart de siècle, la ville de Chicago est dominée par une machine politique démocrate formidablement bien huilée et notoirement corrompue. Mais la mairie de Chicago, c'est aussi l'affaire d'une seule famille. Au cours de quarante des cinquante-trois dernières années, le maire de Chicago provenait des rangs de la famille Daley, dont le patriarche a acquis la réputation d'être un "faiseur de président", en raison du rôle controversé qu'il joua lors de l'élection de John F. Kennedy, en 1960. Un demi siècle plus tard, le clan de l'actuel maire de Chicago, Richard M. Daley, réédita l'exploit en contribuant à installer Barack Obama à la Maison Blanche.


Intro
Le Chicago du "Boss"
Le côté obscur de l'ascension de JFK
Quand JFK en doit une à la machine de Chicago
Martin Luther King débarque dans la ville du "Boss"
L'année de tous les dangers


 

Quand les conservateurs
dépassent les limites


(11/10/2008) 

Le BUREAU DES AFFAIRES LOUCHES recense ici divers cas de manquements aux lois électorales de la part des conservateurs de Harper, de la nomination d'un élu coupable d'avoir violé la loi électorale au poste de ministre de la justice, en passant par les contributions non-déclarées au congrès de mars 2005, à Montréal, jusqu'à l'enquête du Commissaire aux élections fédérales portant sur la possibilité bien réelle que les conservateurs pourraient avoir dépassés les limites du plafond des dépenses électorales autorisées de plus d'un million de dollars lors de la campagne électorale de 2005-2006.
 

 

Intro

La loi et l'ordre, mais pas nécessairement dans le même ordre

Quand Harper dénonçait la police... électorale

Au diable les (limites de) dépenses !

Quand conservateur rime avec tricheur

Le voile qui cachait le scandale

Que celui qui n'a jamais enfreint la loi électorale lance la première pierre

La GRC chez les conservateurs

Les conservateurs ont-ils acheté les élections ?

Perdre sa virginité quand on est conservateur

Un Parlement trop difficile à dompter pour Harper ?   



Comment la GRC aida Harper

à devenir premier ministre

 

(23/9/2008)

 

Il y a trois ans, la GRC influa sur le sort d'une élection générale fédérale qui changea le cours de l'histoire du Canada. Le BUREAU DES AFFAIRES LOUCHES analyse comment l'intervention de la GRC fit déraillé la campagne libérale et propulsa le parti conservateur à la tête des sondages, contribuant ainsi à la victoire de Stephen Harper.

Intro
Paul Martin avait été prévenu

Perdre le contrôle de sa commission d’enquête

Comment les fiducies de revenu devinrent une patate chaude pour les libéraux

Transactions louches et argent facile

La GRC fait son entrée

La police montée contre les libéraux ?

Des libéraux qui répliquent

Les fantômes d'Option Canada reviennent hanter les libéraux

Et le grand gagnant est... Stephen Harper

Course à la chefferie libérale et volte-face conservateur

Un commissaire de la GRC bien protégé

La bataille pour obliger la GRC à rendre des comptes

Une arrestation opportune sur fond de publicité négative

Le rôle de la GRC enfin reconnut !
Conclusion


 

Julie Couillard et les motards

LES ANNÉES DANGEREUSES

(30/6/2008)

Comme on le sait, Julie Couillard, l'ex-copine de Maxime Bernier, a eue au cours des quinze dernières années trois conjoints qui ont tous été liés, à des degrés divers, à l'univers des groupes de motards. Afin de mieux discerner le sens qu'il faut donner aux révélations entourant le passé de Julie Couillard, le BUREAU DES AFFAIRES LOUCHES a décidé de se pencher sur la question de la complicité des conjointes ou ex-conjointes de motards. Nous vous proposerons ensuite d'examiner plus en détail le parcours de vie de Gilles Giguère, assassiné en 1996, et de Stéphane Sirois, un ex-motard qui s'est retourné contre ses anciens complices, ainsi que leur relation respective avec Julie Couillard sur fond de «guerre des motards» et d'enquêtes policières.

Intro

De la complicité des conjointes

L'avocat, l'ex-flic, le shylock et le chum de Julie Couillard

La veuve et le Rocker qui voulaient se sauver l'un et l'autre

De la «boîte à lunch» jusqu'au «body-pack»

 

Quand le monde de la politique
rencontre le monde interlope

(16/6/2008)

 

Profitant de l'affaire Julie Couillard, le BUREAU des AFFAIRES LOUCHES dresse un inventaire des diverses affaires de collusion entre le monde de la politique et du crime organisé qui défrayèrent les manchettes au Québec et au Canada au cours des vingt dernières années. Les douze cas de collusion répertoriés par le Bureau démontrent que ce phénomène n'épargne aucun parti politique et s'étend de la Colombie-Britannique jusqu'au Nouveau-Brunswick, en passant bien sûr par le Québec mais aussi l'Ontario. Mais pour commencer, nous ferons un survol général de la question en nous attardant notamment à l'affaire Julie Couillard qui éclabousse les conservateurs depuis plusieurs semaines, entraînant la démission du ministre Maxime Bernier ainsi que celle d'un conseiller politique du ministre Michael Fortier.

Intro (Nouvelle version)

L'affaire Frank Majeau, l'affaire Conrad Bouchard, l'affaire Pari Montanaro, les hauts et les bas de Sidney Lallouz et le cas d'Alfonso Gagliano.

Le fric gênant de Joseph Sigalov, l'affaire YBM Magnex, l'affaire Glen Clark, l'affaire Éric Doiron, l'affaire David Basi, l'affaire GSI Technologies et les remous de l'«Opération Fusion»



Un (ex) ministre des Affaires étrangères qui
n'est (toujours) pas étranger aux affaires louches
(14/5/2008)

Depuis quelques temps, Maxime Bernier, l'actuel ministre des Affaires étrangères du gouvernement Harper, fait beaucoup parler de lui dans les médias. Bien avant qu'il entame sa carrière politique, Maxime Bernier avait été mêlé à une affaire de fraude pour laquelle un ancien député du parti conservateur de l'ère Mulroney reconnut sa culpabilité. Retour sur une vieille affaire oubliée impliquant un personnage très présent dans l'actualité.

Lire la suite



L'ingérence du gouvernement Harper
dans les primaires américaines:
DE QUOI JE ME MÊLE ?!
(09-4-2008)


L'ALENAgate ou comment le gouvernement conservateur de Stephen Harper a contribué à la défaite du candidat à l'investiture démocrate Barack Obama lors des primaires en Ohio en approvisionnant ses adversaires en munitions.

Intro

De l'Obamania jusqu'à l'ALENAgate

Ottawa vs Obama


 

L'affaire des fiducies de revenu
(17/09/2007)

L'affaire des fiducies de revenu est un scandale à multiples facettes. Cette affaire des plus louches touche en effet à la politique fiscale, à la criminalité financière, à la corruption politique, et offre même en bonus une savoureuse intrigue politico-policière sur fond de campagne électorale. Bref, voilà exactement le type d'affaire compliquée à souhait dont se délecte le Bureau des Affaires Louches (BAL) !

Partie 1: Introduction
Partie 2: Derrière la "fiduciemanie", l'évasion fiscale généralisée
Partie 3: Petite histoire des fiducies de revenu au Canada


Petit malaise au comité
électoral de Gilles Duceppe

(20/01/2006)

Au Jour 1 de la présente campagne électorale fédérale, le Bloc québécois est plongé dans l’embarras : La Presse révélait la présence de M. Jean-Yves Pantaloni à une réunion du comité électoral de Gilles Duceppe. Organisateur politique chevronné, qui fut actif tant chez les conservateurs de Mulroney qu’auprès du Parti québécois, M. Pantaloni avait été trouvé coupable dans une affaire de trafic d’influence et d’extorsion, en 1998.

Élections fédérales 2006: Petit malaise au comité électoral de Gilles Duceppe
2e partie -Cachez ce Pantaloni que Duceppe ne saurait voir!


Élections Fédérales du 23 janvier 2006:
De Groupaction jusqu'au Parti Conservateur
(19/01/2006)

Vice-président à la firme Groupaction pendant 5 ans, M. Jean Lambert est aujourd’hui candidat pour le Parti conservateur du Canada dans le comté de Shefford.

En analysant le témoignage qu’a livré M. Lambert à la commission Gomery, le Bureau des Affaires Louches a découvert que le candidat conservateur avait participer à élaboration de la stratégie de visibilité du gouvernement fédéral au Québec, frayé avec les principaux acteurs du scandale des commandites et pourrait même avoir trempé dans certaines combines visant à contourner la loi électorale.

De Groupaction jusqu'au Parti Conservateur
2e partie
3e partie



Drogue et politique
en Colombie-Britannique

(7/01/2006)
 
Il y a deux ans, la GRC perquisitionnait le parlement de Colombie-Britannique dans le cadre d’une enquête sur un réseau de trafic de marijuana et de cocaine qui les mena chez d’importants organisateurs libéraux fédéraux qui eurent des postes clés dans la campagne au leadership de Paul Martin Jr. Afin de commémorer le deuxième anniversaire de cette affaire, le Bureau des Affaires Louches vous présente la première partie d’un dossier explosif exposant les liens entre le narco-trafic et la machine libéral de Martin en Colombie-Britannique.

Partie 1: Drogue et politique en Colombie-Britannique: L'affaire David Basi
Partie 2: PROJET Everywhichway : De la corruption policière jusqu’à la corruption politique
Partie 3: David Basi : Un organisateur libéral redoutable et redouté
Partie 4: Les Basi’s Boys et la conquête de la Colombie-Britannique par le clan Martin
Partie 5: Qui a financé le membership fantôme ?
Partie 6: Les amis de David Basi se portent à sa défense
Partie 7: Accusations de narco-trafic suivies de démissions politiques
Partie 8: David Basi libéré des accusations de narco-trafic


Drogue et politique au Yukon
(03/01/2006)


Un premier ministre conservateur qui a déjà été condamné pour trafic d’héroïne. Un ancien chef du Parti libéral qui a déjà fait de la prison pour du trafic de cocaïne. Si elle attire rarement l’attention des médias nationaux, il n’en demeure pas moins que la vie politique au Yukon comblera l’appétit de ceux qui cherchent à se mettre un ou deux scandales juteux sous la dent.

Partie 1: Le chef libéral vendait de la Coke
Partie 2: Le futur premier ministre vendait de l'héroïne!
Partie 3: Similarités entre l’affaire Boisclair et l’affaire Fentie



WARREN KINSELLA:
Portrait d'un caméléon accompli

(01/12/2005)

Encore un autre qui a mal viré !
En 1980, Warren Kinsella jouait de la basse dans un groupe punk de Calgary, The Hot Nasties.
Dix ans plus tard, le même Warren Kinsella écrivait des discours pour Jean Chrétien.
Portrait de Warren Kinsella, ex-adjoint spécial de Jean Chrétien et porte-parole autoproclamé de la contre-culture punk.

 

Partie 1: Warren Kinsella: Portrait d'un caméléon accompli
Partie 2: Warren Kinsella et ses "folies de jeunesse"
Partie 3: Le parcours particulier d'un stratège libéral
Partie 4: Warren Kinsella et le programme des commandites
Partie 5: Warren Kinsella, dans le rôle du lobbyiste de l'industrie chimique
Partie 6: L'anti-racisme de Warren Kinsella: deux poids, deux mesures?
Partie 7: Quand Warren Kinsella se fait le porte-étendard de la contre-culture punk



COCAÏNE ET POLITIQUE
AU QUÉBEC
(1ère partie)
L'affaire Boisclair

(13/10/2005)
 
Censure médiatique, détournement de fond d'un ex-chef de cabinet devenu cocaïnomane, ce qu'il convient d'appeler l'affaire Boisclair pourrait cacher beaucoup plus que d'anodines « frasques de jeunesse ».

Partie 1: Cocaïne et politique au Québec: l'Affaire Boisclair
Partie 2: Qui se fermait les yeux pendant qu'André Boisclair se remplissait les narines?
Partie 3: L'Affaire Doray
Partie 4: Boisclair choisi de prendre la poudre... d'escampette
 


COCAÏNE ET POLITIQUE 
AU QUÉBEC (2e partie):
UN TABOU PERSISTANT
22/10/2005)
 
Dans cette deuxième partie de son dossier, le Bureau des affaires louches revient sur deux cas de politiciens cokés, l’ex-député Gilles Baril et l’ex-ministre Jean-François Bertrand. Et pour compléter cette brochette, le B.A.L. vous réserve « un invité surprise » !

Partie 1: Cocaïne et politique au Québec: Un tabou persistant
Partie 2: Le cas de Jean-François Bertrand
Partie 3: Le cas de Gilles Baril
Partie 4: Le cas de Sylvain Vaugeois



Raymond Garneau :
Portrait d’un homme de pouvoir
libéral collectionneur de scandales
(10/09/2005)
 
Un ex-politicien libéral et homme d’affaires dont le nom fut associé à un énorme scandale de patronage politique durant les années ’70, puis à une affaire de blanchiment d’argent durant les années ’80, peut-il aujourd’hui, en 2005, aider à laver la réputation d’une classe politique largement discréditée par l’affaire des commandites ? Aussi bizarre que ça puisse paraître, le juge John Howard Gomery semble penser que oui.

De la Commission d’enquête sur le crime organisé jusqu’à la Commission Gomery, Raymond Garneau continue son cheminement au sein des institutions politiques de notre pays passant d’un scandale à l’autre.

Partie 1: Portrait d’un homme de pouvoir libéral
Partie 2: Pris la main dans l'SAQ
Partie 3: Le racket d’extorsion des distributeurs de Loto-Québec
Partie 4: En 1977, le Projet Z revient hanter Raymond Garneau
Partie 5: De 1978 à 1981: la corruption en procès
Partie 6: Raymond Garneau et la prise de contrôle de la Banque d’Épargne
Partie 7: Raymond Garneau et les narcodollars du clan Caruana-Cuntrera
Partie 8: Raymond Garneau et le naufrage de Trustco Général
Partie 9: Raymond Garneau et le scandale des commandites


«Pétrole entre pourritures» :
LA CONNEXION CANADIENNE
(26/08/2005)
 
Saviez-vous que le nom de plusieurs entreprises et personnalités canadiennes a été associé au scandale Pétrole contre nourriture de l'ONU ? Ce dossier du Bureau des affaires louches nous permet de comprendre comment des gens comme Maurice Strong et Louise Fréchette et la multinationale Power Corporation sont impliqués dans l'affaire.

Partie 1: la connexion canadienne
Partie 2: Si le pétrole a une odeur, l'argent du pétrole lui n'en a pas
Partie 3: Les tentacules de Power Corporation




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P
J'apprécie votre blog, n'hésitez pas a visiter le mien.<br /> Cordialement
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P
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